éparsement

Dérivé de épars, avec le suffixe -ment.

• (XV^e siècle) Les seigneurs se logerent espartement aux champs, au mieux qu’ils purent. — (Jean Froissart, II, page 252, cité dans Glossaire français)
• (XVI^e siècle) Esparsement. — (Antoine Oudin, Recherches italiennes et françoises ou Dictionnaire…)

éparsement \e.paʁ.sə.mɑ̃\

1. D’une manière éparse.
   • Après ce qui a été éparsement expliqué sur Monseigneur, on a vu par avance quelle sorte de sensation fit la perte de ce prince. — (Saint-Simon Louis de Rouvroy de Saint-Simon, 295, 28)

• La prononciation \e.paʁ.sə.mɑ̃\ rime avec les mots qui finissent en \mɑ̃\.
• France (Lyon) : écouter « éparsement [Prononciation ?] »
• France (Vosges) : écouter « éparsement [Prononciation ?] »

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• Tout ou partie de cet article est extrait du Dictionnaire de la langue française, par Émile Littré (1872-1877), mais l’article a pu être modifié depuis. (éparsement)