KGB

(1954) Du russe КГБ, KGB, Комитет государственной безопасности, Komitet gossoudarstvennoï bezopasnosti, « Comité pour la Sécurité de l’État ».

KGB \ka.ʒe.be\ masculin

1. (Histoire) (Communisme) Principal service de renseignement de l’Union soviétique post-stalinienne, entre 1954 et 1991.
   • En novembre 1982, la disparition de Brejnev permet à Andropov, qui régnait sans partage sur le KGB depuis 1967, de s’emparer du pouvoir absolu. À l’annonce de sa nomination, la grande majorité des Soviétiques en reste stupéfaite. — (Hélène Blanc, Renata Lesnik, Les prédateurs du Kremlin, 1917-2009, Éditions du Seuil, 2009, page 94)

• guébiste
• kagibiste

• Loubianka
• Okhrana

• France (Vosges) : écouter « KGB [Prononciation ?] »

• KGB sur l’encyclopédie Wikipédia

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KGB \kaːɡeːˈbeː\ masculin

1. (Histoire) (Communisme) KGB, principal service de renseignement de l’Union soviétique post-stalinienne, entre 1954 et 1991.
   • Der Mann, der damals gerade die Leitung des KGB übernimmt, Juri Andropow, begreift, dass diese Bombe für das Regime gefährlicher ist als das gesamte Arsenal an amerikanischen Atomwaffen, und er ergreift die Initiative und versammelt das Politbüro zu einer Dringlichkeitssitzung. — (Emmanuel Carrère, traduit par Claudia Hamm, Limonow, MSB Matthes & Seitz Berlin Verlagsgesellschaft, 2012)

     L’homme qui vient à ce moment de prendre la direction du KGB, Iouri Andropov, comprend que cette bombe-là est plus dangereuse pour le régime que la totalité de l’arsenal nucléaire américain, et prend l’initiative de réunir en urgence le Politburo.

Du russe КГБ, KGB, Комитет государственной безопасности, Komitet gossoudarstvennoï bezopasnosti.

KGB \Prononciation ?\ masculin inanimé

1. KGB.

• StB (en Tchécoslovaquie communiste)

• KGB sur l’encyclopédie Wikipédia (en tchèque)