airure

Français

Étymologie
(1838) Mot dérivé de aire, avec le suffixe -ure[1][2].
(XIIIe siècle) En ancien français areure (« labourage »)[2][3], du latin aratura (« labour »), de arare « labourer ».

Nom commun 1

SingulierPluriel
airure airures
\ɛ.ʁyʁ\

airure \ɛ.ʁyʁ\ féminin

  1. Fin de la veine dans une mine.

Nom commun 2
SingulierPluriel
airure airures
\ɛ.ʁyʁ\

airure \ɛ.ʁyʁ\ féminin

  1. (Désuet) Toute façon donnée à la terre, labour, binage, hersage, etc. (S'utilise encore de façon dialectale en Anjou et en Normandie).
    • La largeur de l’airure varie de cinq à sept pouces. — (Annuaire des cinq départements de l’ancienne Normandie, 1838)

Traductions

Prononciation

Anagrammes

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Références
  1. « airure », dans Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, 1872–1877 → consulter cet ouvrage
  2. « airure », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage
  3. Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IXe au XVe siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage (areure)
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