attendrissable

Français

(1845)[1] Dérivé de attendrir, avec le suffixe -able.

attendrissable \a.tɑ̃.dʁi.sabl\ masculin et féminin identiques

Que l’on peut attendrir.
- Franchement, je suis beaucoup trop indulgente, ce qui me rend confiante et attendrissable. — (Marc Lambron, Carnet de bal : chroniques 2, Grasset, Paris, 2003)
- Il avait l’air plus mâle, on l’a dit, que Aziz, plus résolu, moins facilement attendrissable. — (Jean-Pierre Koffel, C’est ça que Dieu nous a donné, Editions Marsam, Rabat, 2003)
- N’empêche qu’heureusement que j’étais là pour amadouer Malandain, vu que ce monstre de Jules, c’était pas exactement le genre attendrissable ! — (Martine Marie Muller, Nuage bleu sur ciel de craie, Presses de la cité, Paris, 2017)

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Figure dans la deuxième édition de Enrichissement de la langue française : dictionnaire de mots nouveaux de Jean-Baptiste Richard de Radonvilliers, Paris, 1845, page 33.

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