avérable

Français

(1845)[1] Dérivé de avérer, avec le suffixe -able.

avérable \a.ve.ʁabl\ masculin et féminin identiques

Que l’on peut avérer.
- Avec suffisamment de preuves, ces faits douteux deviendront avérables.
- Cet ensemble de propositions, les unes avérées ou avérables, les autres exclues du domaine du vrai ou du faux, sont « représentées » dans la mémoire de chaque individu, stockées et éventuellement organisées en systèmes [...]. — (Tobie Nathan, dans Psychothérapie sans frontière, numéro 5 de la Nouvelle revue d’ethnopsychiatrie, La Pensée sauvage, Grenoble, 1986, page 50)
- Il ne faut jamais hésiter à obéir à une discipline, même si elle vous pèse, quand elle repose sur une exactitude avérable. — (Ludovic Recrop, Un petit paysan jeté dans l’océan parisien, L’Harmattan, Paris, 2001)

Figure dans la deuxième édition de Enrichissement de la langue française : dictionnaire de mots nouveaux de Jean-Baptiste Richard de Radonvilliers, Paris, 1845, page 37.

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