bruissage

Français

Étymologie

(1751)[1] Dérivé de bruir.

Nom commun

SingulierPluriel
bruissage bruissages
\bʁɥi.saʒ\

bruissage \bʁɥi.saʒ\ masculin

  1. (Vieilli) Chauffage d’une étoffe à la vapeur pour l’amollir.
    • Les tortillons formés, on les portait au bruissage dans une cuve close chauffée à la vapeur.  (Armengaud Ainé, Publication industrielle des machines, page 432, 1863)
    • Cette opération du tortillonnage existe donc toujours, et exige, après le bruissage, l’opération contraire de détortillonner, c’est-à-dire de déformer les tortillons, pour pouvoir les soumettre à de nouveaux passages aux défeutreurs simples et doubles, machines à réunir, puis enfin aux bobinoirs.  (M. Armengaud aîné, Publication industrielle des machines: outils et appareils, tome quatrième, 1845, page 180)

Traductions

Anagrammes

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Références

  1. Alain Rey, Dictionnaire historique de la langue française, Bruissage, 2011
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