desserrable

Français

(1845)[1] Dérivé de desserrer, avec le suffixe -able.

desserrable \de.se.ʁabl\ ou \dɛ.sɛ.ʁabl\ masculin et féminin identiques

Que l’on peut desserrer.
- Le plus répandu de ces freins est celui de Smith. Il consiste en une ligne de tuyaux P passant sous les voitures et réunis entre chacune de celles-ci par un accouplement articulé et desserrable. — (Marc de Meulen, La locomotive : le matériel roulant et l'exploitation des voies ferrées, Firmin-Didot et C^ie, Paris, 1889, pages 190-191)
- Cette visibilité variant, cependant, à chaque heure de la journée, l’ordre à chercher doit être des plus flexibles, serrable et desserrable à volonté. — (Paul Jean Fontin, Henry Vignot, Les guerres navales de demain, Berger-Levault, Paris, 1891, page 192)
- Parce qu’il est inépuisable et surtout parce qu’il est constamment desserrable, le frein à vide convient particulièrement bien aux chemins de fer mixtes, à adhérence et à crémaillère [...]. — (Maurice Paschoud, René Thiessing, Les chemins de fer suisses après un siècle 1847-1947, tome V, Delachaux et Niestlé, 1949, page 143)

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Figure dans la seconde édition de Enrichissement de la langue française : dictionnaire de mots nouveaux de Jean-Baptiste Richard de Radonvilliers, Paris, 1845, page 139.

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