douillettement
Français
Étymologie
- Dérivé de douillet, par son féminin douillette, avec le suffixe -ment.
Adverbe
douillettement \du.jɛt.mɑ̃\
- D’une manière douillette.
Une somme de six cents couronnes, dit Isaac, et le bon prieur n’en sera pas moins douillettement assis dans sa stalle.
— (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)L’enfant est lumineux et douillettement fait.
— (Denis Diderot, Salon de 1767, Œuvres, t. XIV, p. 343, dans POUGENS.)- (Sens figuré) — Les rouges, douillettement abrités : Beaune, Pommard, Chambertin ... — (Francis Carco, Images cachées, Éditions Albin Michel, Paris, 1928)
Apparentés étymologiques
- → voir douillet
Prononciation
- La prononciation \du.jɛt.mɑ̃\ rime avec les mots qui finissent en \mɑ̃\.
- France (Lyon) : écouter « douillettement [Prononciation ?] »
- France (Vosges) : écouter « douillettement [Prononciation ?] »
- France (Toulouse) : écouter « douillettement [Prononciation ?] »
Références
- « douillettement », dans Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, 1872–1877 → consulter cet ouvrage
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