espionnable

Français

(1845)[1] Mot dérivé de espionner, avec le suffixe -able.

espionnable \ɛs.pjɔ.nabl\ masculin et féminin identiques

Qui peut être espionné.
- Le téléphone numérique est donc désormais officiellement espionnable. En revanche, les communications passant par Internet sont expressément exclues de la loi et peuvent donc être cryptées avec les systèmes les plus puissants existant actuellement — (Gilles Bauche, Tout savoir sur Internet, Éditions Arléa, Paris, 1996, page 105)
- Zerodium offre 1,5 million de dollars à qui rendra iOS 10 espionnable — (Titre de numerama.com, 30 septembre 2016)
- Le président « n’a jamais communiqué des informations sensibles sur un téléphone potentiellement espionnable », assure Gabriel Attal. — (Alexandre Lemarié, Affaire Pegasus : la France tente de vérifier si le portable d’Emmanuel Macron a été « infecté », lemonde.fr, 22 juillet 2021)

Figure dans la seconde édition de Enrichissement de la langue française : dictionnaire de mots nouveaux de Jean-Baptiste Richard de Radonvilliers, Paris, 1845, page 177.

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