groseiller

(1768) → voir groseillier

groseiller \ɡʁo.zɛ.je\ ou \ɡʁo.ze.je\ masculin

1. Variante orthographique de groseillier.
   • Si j’étais peintre je vous dessinerais le rideau de peupliers sans oublier un seul arbre, — et les gros saules avec les groseillers épineux qui verdissaient sur leurs têtes, les racines implantées dans leur tronc pourri, — et les glacis des fortifications sur lesquels nous faisions de si belles glissades en nous lançant sur un seul pied, — et la Butte-aux-Cailles avec son moulin à vent. — (Hector Malot, Sans famille, 1878, édition Dentu 1887). Note : Cette citation épelant «  groseiller » se trouve dans l’édition Dentu de 1887. Il est à noter que dans la nouvelle édition Dentu de 1888 l’orthographe est corrigée en «  groseillier ». L’édition antérieure de Hetzel (1880) contient également l’orthographe correcte «  groseillier ».
   • Ce groseiller, très rustique, produit des fleurs en grappes verdâtres, plus ou moins dressées. — (Groseiller des Alpes - Ribes alpinum, jardindupicvert.com)
   • Le groseiller à grappes est un arbuste fruitier rustique des plus répandus, et d’une fertilité admirable, cultivé dans tous les jardins, son fruit recherché est d’un usage bien connu. — (Le Moniteur horticole belge, volumes 18 à 20, 1912)

• groseillier

• France : écouter « groseiller [ɡʁɔ.zɛ.je] »

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• « groseillier », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage