improbation

Français

Étymologie

(Date à préciser) Du latin improbatio.

Nom commun

SingulierPluriel
improbation improbations
\ɛ̃.pʁɔ.ba.sjɔ̃\

improbation \ɛ̃.pʁɔ.ba.sjɔ̃\ féminin

  1. Action d’improuver ; désapprobation.
    • L’Anglaise, d’une indifférence morne, lorgna d’abord tout autour d’elle avant de lorgner les trois exhibitions, sans donner de signe d’approbation ou d’improbation.  (Honoré de Balzac, Gaudissart II, 1844-1846)
    • Pourtant, en rentrant à la résidence, [le maréchal Ney] trouva la gêne et même l’improbation sur le visage de la plupart de ses aides de camp.  (Adolphe Thiers, Histoire du Consulat et de l’Empire, 1845-1862T, tome XV, page 148)
    • Je le vois encore, un dimanche de Pâques, à l’église Saint-Étienne, écoutant le chant des orgues, et battant la mesure de la tête et du pied, en donnant par instants des marques d’approbation ou d’improbation.  (Albert Cim, Césarin, histoire d’un vagabond, 1897)
    • « Tous des copieurs, des suiveurs, proférait Delphine, de fieffés épigones ! » et parfois elle ajoutait : « Disciples de merde ! », ce qui faisait naître chez Charlotte une moue d’improbation.  (Richard Jorif, Le Burelain, éditions François Bourin, 1989, page 39)

Antonymes

Traductions

Prononciation

Références

  • Tout ou partie de cet article a été extrait du Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition, 1932-1935 (improbation), mais l’article a pu être modifié depuis.
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