incolorable

(1827) Dérivé de colorer, avec le préfixe in- et le suffixe -able.

incolorable \ɛ̃.kɔ.lɔ.ʁabl\ masculin et féminin identiques

1. Que l’on ne peut pas colorer, qui ne prend pas les colorants.
   • Ces deux caractères appartiennent donc exclusivement au tégument incolorable par l’iode et non aux grains de fécule qui en tapissent les parois. — (Bulletin des sciences mathématiques, astronomiques, physiques et chimiques, tome VIII, Paris, 1827, page 266)
   • Dans le pus blennorrhagique et dans le bubon secondaire pourraient exister le microbe spécifique de la blennorrhagie, inconnu et incolorable, et le gonocoque qui serait un organisme plus banal du pus uréthal. — (Bulletin de la Société française de dermatologie et de syphiligraphie, 7^e année, séance du 15 février 1896, page 95)
   • La cellule vivante est incolorable dans l’état actuel de nos moyens techniques. — (L’année biologique, tome XXIX, Masson, Paris, 1924, page 214)
   • La couche externe, assez mince, prend les mêmes colorants que la cuticule banale ; la couche moyenne, plus épaisse, demeure incolorable ; la couche profonde forme un liseré très mince, coloré par la fuchsine. — (Annales de l’Institut océanographique, tome XXV, Monaco, 1950, page 331)

• colorable

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