indécachetable
Français
Étymologie
- (1845)[1] Dérivé de décacheter, avec le préfixe in- et le suffixe -able.
Adjectif
| Singulier | Pluriel | |
|---|---|---|
| Masculin et féminin |
indécachetable | indécachetables |
| \ɛ̃.de.kaʃ.tabl\ | ||
indécachetable \ɛ̃.de.kaʃ.tabl\ masculin et féminin identiques
- Qu’on ne peut pas décacheter.
L’enveloppe ne peut plus être fermée par un paon à cacheter. Ou elle l’est par la gomme, qui rend la fermeture indécahetable, ou par la cire.
— (Constance Aubert, Manuel d’économie élégante, Taride, Paris, 1859, page 141)La Maison SUSSE est la seule où l’on vend le papier à lettre dit parchemin, timbré sans frais et délivré en boite à 10 centimes le cahier, ainsi que les enveloppes indécachetables à 4 francs le cent.
— (Revue des deux Mondes, Volume 39, 1862)Maudite enveloppe ! ah ça ! mais elle est donc indécachetable ! Opération césarienne, éventrement.
— (Joseph Esquirol, Épreuves.... d’imprimerie, Librairie Molière, Paris, 1902, page 34)
Traductions
Références
- Figure dans la seconde édition de Enrichissement de la langue française : dictionnaire de mots nouveaux de Jean-Baptiste Richard de Radonvilliers, Paris, 1845, page 291.
- « indécachetable », dans Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, 1872–1877 → consulter cet ouvrage
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