inenlevable

Français

Étymologie

(1685) Dérivé de enlever, avec le préfixe in- et le suffixe -able.

Adjectif

SingulierPluriel
Masculin
et féminin
inenlevable inenlevables
\i.nɑ̃.lə.vabl\

inenlevable \i.nɑ̃.lə.vabl\ masculin et féminin identiques

  1. Qui ne peut pas être enlevé.
    • Un Curé n’est pas un Prêtre, dont le temporel soit inenlevable, son bien est exposé à la rapacité des hommes, comme tous les autres biens perissables de cette vie ; mais malheur à ceux qui l’en dépoüillent.  (Guy Drappier, Défense des abés commendataires et des curés primitifs contre les plaintes des moines & des curés, Adrien Moetjens, La Haye, 1685, page 449)
    • Une laparotomie ne donne pas de résultat : la tumeur est inenlevable par cette voie.  (Revue internationale de bibliographie médicale, pharmaceutique et vétérinaire, n° 2, 25 janvier 1894, page 26)
    • Je crois aussi, en conséquence, que, quelle que soit la misère de l’homme, il y a en lui, en tant que créature de Dieu, un point d’insertion pour la Grâce, je crois que l’image de Dieu est inenlevable de l’homme...  (Elisabeth Meyer, Autour de la Confession d’Augsbourg, avec mes amis protestants, Emmanuel Vitte, Lyon, 1862, page 53)
    • Si le clou devient inenlevable, on peut essayer de le renfoncer.  (Conférences d'enseignement 2005 - Cahiers d'enseignement de la SOFCOT - publié par Jacques Duparc)

Antonymes

Synonymes

  • inôtable

Hyponymes

Traductions

Anagrammes

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