inurbanisable

Français

Étymologie

(1842)[1] Dérivé de urbaniser, avec le préfixe in- et le suffixe -able.

Adjectif

SingulierPluriel
Masculin
et féminin
inurbanisable inurbanisables
\i.nyʁ.ba.ni.zabl\

inurbanisable \i.nyʁ.ba.ni.zabl\ masculin et féminin identiques

  1. Qui ne peut pas être urbanisé.
    • Ces terres souvent inurbanisables, dépourvues de tout lotissement préalable, sont parfois éloignées du centre d’une distance pouvant aller jusqu’à 20 kilomètres.  (Revue Problèmes d'Amérique latine, n°63/66, La Documentation française, 1982, page 128)
    • Les constructions le plus haut situées sont toujours là, quasiment intactes, protégées par de raides pentes inurbanisables.  (Jean-Pierre Péroncel-Hugoz, Villes du Sud, Balland, 1990, page 211)
    • Les migrants se retrouvent sans parcelles viabilisées pour la plupart et sont obligés de coloniser les zones non aedificandi, inurbanisables.  (Description de la thèse de doctorat en géographie Croissance urbaine - systèmes fonciers et gestion des espaces urbains : l'exemple de Libreville (Gabon), de Ida Rachel Moussavou, Université Bordeaux 3, 1999, theses.fr)

Antonymes

Traductions

Références

  1. Figure dans la première édition de Enrichissement de la langue française : dictionnaire de mots nouveaux de Jean-Baptiste Richard de Radonvilliers, Paris, 1842, page 290.
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