myiodésopsie

Du grec ancien, composé de μυῖα, muîa (« mouche »), -ώδης, -ốdês (« -oïde »), ὤψ, ops (« vue ») et -ία, -ía.

myiodésopsie \Prononciation ?\ féminin

1. Genre de berlue appelé aussi mouches volantes.
   • Il est à observer que toutes les autres causes productrices de la myiodésopsie appellent, aussi bien que l’ophthalmie, des congestions sanguines vers la tête et l'œil, et peuvent par conséquent, tout comme l'inflammation, déterminer l'entrée du sang dans les vaisseaux capsulaires affaissés ou rétrécis. — (« Revue bibliographique : The vision of objects on and in the Eye (De la vue des objets placés sur et dans l'œil) » , par Guill. Mackenzie, dans les Annales d’oculistique, tome 14 (3^e série/tome 2), Bruxelles : chez l'éditeur & Paris : chez Germer Baillière, 2^e semestre 1845, p. 84)
   • Aussi, lors d’hémorrhagies sacciformes ou d’hémorrhagies en gouttelettes, les symptômes subjectifs se bornent-ils, soit à un léger scotome fixe, soit à une variété de myiodésopsie analogue à celle que produisent les corps flottants du corps vitré. — (Arthur Sichel, Traité élémentaire d’ophthalmologie, Paris : chez Masson, 1879, page 829)

• myiodopsie
• myodésopsie

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• « myiodopsie », dans Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, 1872–1877 → consulter cet ouvrage