périmable

Français

(1842)[1] Mot dérivé de périmer, avec le suffixe -able.

périmable \pe.ʁi.mabl\ masculin et féminin identiques

(Rare) Susceptible de se périmer, d’être périmé.
- Il est arrêté que cette monnaie est périmable au-delà d’un délai à fixer (par exemple un an). — (Jean Bimen, Révolution intégrale, OCIA éditions, 1945, page 66)
- Le livre du coup devient en tant qu’objet un élément culturel « périmable » à terme dans sa forme plus que dans son contenu et la chute des statistiques de lecture qui désigne les jeunes lecteurs de livres reste un élément préoccupant. — (Marc Bélit, Le malaise de la culture: essai sur la crise du modèle culturel français, Séguier, 2006, pagr 194)
- Autre difficulté, plus technique, les textes européens imposent que tout produit possède soit une DLUO soit une DLC. Et il n’est évidemment pas possible d’accoler une DLC à un produit non périmable. — (Jérémie Pham-Lê, Gaspillage alimentaire: faut-il supprimer la mention "à consommer de préférence avant"?, lexpress.fr 23 mai 2014)
(En particulier) (Audiovisuel) (Canada) Qualifie une émission de télévision qui, par son rapport à l’actualité, risque de devenir rapidement désuète[2].

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Figure dans la première édition de Enrichissement de la langue française : dictionnaire de mots nouveaux de Jean-Baptiste Richard de Radonvilliers, Paris, 1842, page 342.
TERMIUM Plus®, La banque de données terminologiques et linguistiques du gouvernement du Canada.

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