paroir

(Siècle à préciser) Dérivé de parer, avec le suffixe -oir.

paroir \pa.ʁwaʁ\ masculin

1. Outil qui sert à parer, utilisé par divers corps de métiers.
   • Des pots de confitures, des ballons, mais aussi un paroir, outil de sabotier fort dangereux, selon mes informateurs. — (Claude Izner, Les souliers bruns du quai Voltaire : Les enquêtes de Victor Legris, Volume 10, 2011)
   • Le paroir sert au tonnelier pour parer le dedans des futailles, au maréchal ferrant pour parer le pied des chevaux. — (Exemple tiré du Dictionnaire encyclopédique Quillet, Paris, 1934)
   • Godard abandonne son paroir. — (Georges Coulonges, Les sabots de Paris, Presses de la Cité, 2003 ; édition utilisée : collection Pocket, 2005, page 243)

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• « paroir », dans Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, 1872–1877 → consulter cet ouvrage

Du latin pārēre.

paroir \Prononciation ?\

1. Apparaître.

• pareir

• aparoistre
• paroistre

• Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IX^e au XV^e siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage
• L. Constans, Le Roman de Troie, tome 5, glossaire, p. 242 (pareir). 1909.