peintureur

(Date à préciser) Dérivé de peinturer, avec le suffixe -eur.

peintureur \pɛ̃.ty.ʁœʁ\ masculin (pour une femme, on dit : peintureuse)

1. (Désuet) Peintre en bâtiment.
   • Le mot peintureur est d’un usage nécessaire ; car il n’y a personne qui ayant eu à employer un ouvrier pour le peinturage de sa maison, n’ait été embarrassé de ne le pas confondre, en parlant de lui, avec l’artiste qui était chargé d’orner les murs ou les plafonds de ses ouvrages en peinture. — (Encyclopédie méthodique, Beaux-Arts, 1788, page 160)
2. Celui qui peinture.
   • À cet égard, lʼœuvre dʼun peintureur a les mêmes effets que celle dʼun peintre. — (Étienne Gilson, Peinture et réalité, 1958)
   • Le camion des peintureurs attendait dehors. — (Boris Vian, L’écume des jours, éditions 10-18, 1963, page 61)

Peintre en bâtiment

• peintre en bâtiment
• (Désuet) (Péjoratif) barbouilleur
• (Désuet) (Péjoratif) peintre à la grosse bosse

Personne qui peinture

• peintre
• peinturier (Péjoratif)

• \pɛ̃.ty.ʁœʁ\
• Canada : \pẽ.t͡sy.ʁœʁ\

• « peintureur », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage
• « peintureur », dans l’Encyclopédie méthodique, Beaux-Arts, 1788, page 160