postiller

(Date à préciser) Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.

postiller \pɔs.ti.je\ intransitif, parfois tatare 1^er groupe (voir la conjugaison)

1. Émettre des postillons.
   • Fumier, fumier qu’il me postille, crache, comme asphyxié lui aussi. — (Louis-Ferdinand Céline, version A de Féérie pour une autre fois, Gallimard, Paris, 1993)
   • Mais il ne s’est rien passé ! s’emporta Khondu-Joyla en postillant entre ses chicots. — (Jimmy Guieu, Les chevaliers de lumière : Le pacte de Kannlor, 1987)
   • Est-ce que l’un d’entre vous savait que Léonie prévoyait de me tuer ? Parce que j’en ai appris de belles chez les flics sur les conversations que cette sale petite effrontée tenait avec James, beugla-t-elle en postillant sur son majordome. — (Lana Calzolari, American Megalo, 2021)

• postillonner

• Somain (France) : écouter « postiller [Prononciation ?] »

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(Date à préciser) Dénominal de postille.

postiller \Prononciation ?\ transitif (voir la conjugaison)

1. Annoter, expliquer par des gloses.

• postiler

• apostiller

• Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IX^e au XV^e siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage