prée

(c. 1100) Du latin prata, pluriel, en latin classique, de pratum.

prée \pʁe\ féminin

1. (Charente-Maritime). Prairie.
   • De ses fenêtres, par-dessus quelques maisons et quelques murs bas garnis de rosiers ou de jasmins, on apercevait les remparts de la ville, assez voisins de nous avec leurs arbres centenaires et, au delà, un peu de ces grandes plaines de notre pays, qu’on appelle des prées, qui l’été se couvrent de hauts herbages, et qui sont unies, monotones comme la mer voisine. — (Pierre Loti, Le Roman d'un enfant, 1890)

• La prononciation \pʁe\ rime avec les mots qui finissent en \ʁe\.

• pré

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• « prée », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage

Du latin presbyter, lui-même issu du grec πρεσβύτερος, presbúteros (« ancien »).

prée \pɾɛː\ masculin

1. (Religion) Prêtre.

Forme du valdôtain des communes d’Arnad, Charvensod et Valtournenche.

• pére

• Glossaire du valdôtain

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prée \Prononciation ?\ féminin (graphie inconnue)

1. (Trémeur) (Melesse) (Agriculture) Pré.

• Louis Lardoux et Joseph Rolland, Glossaire du parler dans la région du nord de Rennes. Consulté le 13 juillet 2019
• Jean-Marie Renault, Glossaire du parler de Trémeur, Famille Renault, 2008, 49 pages → [version en ligne] / [texte en ligne]