réentoilage

(XX^e siècle) Dérivé de entoilage, avec le préfixe re-

réentoilage \ʁe.ɑ̃.twa.laʒ\ masculin

1. (Sens propre) Réparation par pose d’une toile neuve.
   • RÉPARATIONS : Le réentoilage n’est généralement pas possible, même chez le fabricant. — (René Marie de La Poix de Fréminville, Naissance et vie du bateau, volume 2, R. Laffont, 1965, page 96)
   1. (Peinture) Collage d’une toile sur l’endos d’un tableau pour le renforcer.
      • La marque du peintre a pu être amputée lors d’un réentoilage. — (Michel ÷Cauchon, Jean-Baptiste Roy-Audy, Ministère des affaires culturelles, 1971, page 101)
   2. (Automobile) Renforcement de la carcasse d’un pneumatique.
      • Si le pneu avait été victime d’un éclatement, avant le réentoilage, on pourrait le sentir avec les doigts. — (La Vie automobile, volume 12, 1912, page 165)
   3. (Aviation) Réfection de l’enveloppe des structures d’un avion.
      • En cas de réentoilage complet, la toile doit être faiblement tendue […] — (Maurice Percheron, Guide du mécanicien d’aviation, Librairie aéronautique, 1918, page 29)

• rentoilage

• \ʁe.ɑ̃.twa.laʒ\
  • Belgique (Brabant wallon) : écouter « réentoilage [ʁe.ɑ̃.twa.laʒ] »
• France (Lyon) : écouter « réentoilage [Prononciation ?] »
• Somain (France) : écouter « réentoilage [Prononciation ?] »

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