Villers-Cotterêts

Composé de Villers, du latin villaris (« de ferme »), et Cotterêts ; notamment graphié Vilers-Coldereist en 1174 sur la carte de l’abbé de Saint-Quentin-en-l’Île, Villers-Costeretz en 1418 dans les comptes de l’Hôtel-Dieu de Laon ; nommé en référence à « la forêt de Retz ».

Villers-Cotterêts \vi.lɛʁ.kɔ.tə.ʁɛ\

1. (Géographie) Commune française, située dans le département de l’Aisne.
   • Abandonnant le latin de chat-fourré, que conservent, près de deux siècles après l'ordonnance de Villers-Cotterêts, ses collègues, il parle français : la langue du métier, la langue de Molière que cite Boutaric, désormais la langue internationale. — (Christian Chêne, L'enseignement du droit français en pays de droit écrit: (1679-1793), p. 53, Droz, 1982)
2. (Géographie) Canton français, situé dans le département de l’Aisne[1].

• Cotterézien, Cotterézienne
• cotterézien, cotterézienne

• \vi.lɛʁ.kɔ.tə.ʁɛ\
• \vi.le kɔ.tə.ʁɛ\

• Cette page utilise des renseignements venant du site habitants.fr.
• Auguste Matton, Dictionnaire topographique du département de l’Aisne, ministre de l’Instruction publique, collection « Dictionnaire topographique de la France », 1871, page 294-295
• Jean-Marie Pierret, Phonétique historique du français et notions de phonétique générale, Peeters, Louvain-la-Neuve, 1994.
• Petite histoire de r

• Villers-Cotterêts sur l’encyclopédie Wikipédia
• Canton de Villers-Cotterêts sur l’encyclopédie Wikipédia