chétite

chétite \ʃe.tit\ masculin et féminin identiques

1. (Extrêmement rare) Définition manquante ou à compléter. (Ajouter)
   • Plus au sud était le port de Laodicée, auj. Lâdikìye ; au milieu et au bas de la vallée si fertile de l’Oronte, on voyait la grande et nouvelle cité d’Apamée (encore appelée au moyen âge Fâmie) et l’antique ville chétite de Hamath (auj. Hamâ) dont le nom fut changé en Epiphaneia par Antiochus [IV] Épiphane. — (Heinrich Kiepert, Manuel de géographie ancienne, 1887)
   • L’invasion chétite en Babylonie est liée au nom de Samsudituna, dernier roi de la première dynastie (Ed. Meyer, Gesch., I², p. 577). — (Eugène Cavaignac, Histoire de l’antiquité volume 1, numéro 2, Fonemoing, 1919)
   • R. A. Crossland (Sheffield) : la société mycénienne et les conditions de vie dans l’empire chétite. — (Eirene volume 6, 1967)

chétite \ʃe.tit\ féminin (pour un homme, on dit : chétit)

1. Méchante.
   • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)

chétite \ʃe.tit\

1. Féminin singulier de chétit.
   • —On le dit : et c’est drôle tout de même. Enfin, la pauvre âme n’avait pas trouvé le trou à l’or, au château de Broussac et sa fille n’aura pas grand’-peine à faire dresser son inventaire. Il ne lui reste qu’un peu de bestiau, trois ou quatre ouailles, quat’ ou cinq chèvres, et sa chétite maison…
     —Et sa chétite tante, qui aurait mieux fait de s’en aller à la place de l’autre ! — (George Sand, Jeanne, 1844)