faquine

(Nom commun) (Date à préciser) Dérivé de faquin, avec le suffixe -ine.

faquine \fa.kin\ féminin (pour un homme, on dit : faquin)

1. (Vieilli) (Littéraire) (Rare) Femme de peu de valeur, mal élevée et méprisable.
   • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
2. (Marseille) Sorte de veste.
   • Janet Coriol quittait les douceurs du lit à quatre heures du matin, allumait un cigare pour se réchauffer les sensibles membranes du nez, et enveloppé d’une roupe et d’une faquine, il allait s’asseoir dans son agachon avec son fusil à deux coups. — (Joseph Méry, Marseille et les Marseillais, 1860)

faquine \fa.kin\

1. Féminin singulier de faquin.
   • la jeunesse faquine y débitait ses mille riens inconvenants dont on se défraie si avidement dans certaines réunions. — (Joanny Ginod, « Histoire tragique », dans La France littéraire, artistique, scientifique, 1861, vol. 6 [texte intégral])

faquine \fa.kin\

1. Première personne du singulier du présent de l’indicatif de faquiner.
2. Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de faquiner.
3. Première personne du singulier du présent du subjonctif de faquiner.
4. Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de faquiner.
5. Deuxième personne du singulier de l’impératif de faquiner.
   • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)

• La prononciation \fa.kin\ rime avec les mots qui finissent en \in\.
• France (Paris) : écouter « faquine [fa.kin] »

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• « faquin », dans Edmond Huguet, Dictionnaire de la langue française du seizième siècle, 1925-1967, p. page 36, tome IV → consulter cet ouvrage
• « faquine », dans César-Pierre Richelet, Dictionnaire de la langue françoise, 1759 → consulter cet ouvrage