imposteresse

(Date à préciser) Du moyen français imposteresse. Dérivé de imposteur, avec le suffixe -eresse.

imposteresse \ɛ̃.pɔs.tə.ʁɛs\ féminin (pour un homme, on dit : imposteur)

1. (Vieilli) Variante de impostrice.
   • […] et a estre ladite imposteresse fustigée jusques à effusion de sang, et ce fait reprendre habit de femme. — (Gabriel de Lurbe, Chronique Bourdeloise, Simon Millanges Imprimeur, 1619, p. 42)
   • Et il ose m’accuser d’être une imposteresse alors que vous êtes témoin de mon infortune. — (Olivier de Trazegnies, Conte du grand garçon maigre, Le Manuscrit, 2012, Tome 1, p. 361)

• La prononciation \ɛ̃.pɔs.tə.ʁɛs\ rime avec les mots qui finissent en \ɛs\.
• France (Paris) : écouter « imposteresse [ɛ̃.pɔs.tə.ʁɛs] »
• Somain (France) : écouter « imposteresse [Prononciation ?] »

(Date à préciser) Dérivé de imposteur, avec le suffixe -eresse.

imposteresse *\ɛ̃.pɔs.tə.rɛs(ə)\ féminin (pour un homme, on dit : imposteur)

1. impostrice.
   • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)

• Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IX^e au XV^e siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage
• « imposteresse », dans Edmond Huguet, Dictionnaire de la langue française du seizième siècle, 1925-1967, p. page 576, tome IV → consulter cet ouvrage