ivrognal

Français

Étymologie
(1869) Dérivé de ivrogne, avec le suffixe -al[1].

Adjectif

Singulier Pluriel
Masculin ivrognal
\i.vʁɔ.njal\		 ivrognaux
\i.vʁɔ.njo\
Féminin ivrognale
\i.vʁɔ.njal\		 ivrognales
\i.vʁɔ.njal\

ivrognal \i.vʁɔ.njal\ masculin

  1. (Rare) Relatif aux ivrognes.
    • Jugeant par intuition ivrognale que ce pourrait bien être un plein flacon, il y porta la main. — (Charles De Coster, La Légende d’Ulenspiegel, 1869, pages 1-179)
    • Il y a six… du temps de la comète bleue… le meilleur des vins pourpres… qui rend ivrognal… — (Michel de Ghelderode, Magie Rouge, 1931)
    • Ben oui, le patron est natif des Flandres, un Belge, comme le roi Léopold. Bibulus, c’est le nom d’un chien dans un bouquin, et ce cabot-là il aime la bière d’un amour ivrognal. Faut vous dire que celui qui a pondu l’hisoitre, il est belge lui aussi. — (Claude IZNER, Mystère rue des Saints-Pères: Les enquêtes de Victor Legris, Univers Poche, 2011)

Quasi-synonymes

Traductions

Références
  1. Maurice Rheims, L’insolite, dictionnaire des mots sauvages des écrivains des 19e et 20e siècles, Larousse, 1989
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