klañvour

Breton

Étymologie

Dérivé de klañv malade »), avec le suffixe -our.

Nom commun

Mutation Singulier Pluriel 1 Pluriel 2
Non muté klañvour klañvourien klañvourion
Adoucissante glañvour glañvourien glañvourion
Spirante cʼhlañvour cʼhlañvourien cʼhlañvourion

klañvour \ˈklãː.vur\ masculin (pour une femme, on dit : klañvourez)

  1. Malade, patient.
    • Kenta medesin. — Hennez a dle beza louzaouet ganen-me ha ne fell ket d’in e rafe eur c’hlanvour goap ac’hanon evelse !  (Yann-Vari Perrot, An aotrou Kerlaban, Brest, 1923, page 25)
      Premier médecin — C’est moi qui doit soigner celui-là et je ne veux pas qu’un malade se moque de moi ainsi !
    • [...], e lavaris e vije koulz lakaat ar cʼhlañvour war ar cʼhravazh, ha diskenn goustad gantañ betek an aod.  (Roparz Hemon, Mari Vorgan, Al Liamm, 1975, page 136)
      [...], et je dis qu’il vaudrait autant mettre le malade sur la civière, et descendre lentement avec lui jusqu’à la côte.
    • « Krediñ a ran emaomp oc’h ankouaat hor c’hlañvour ! »  (Jakez Konan, Ur marc’hadour a Vontroulez, Al Liamm, 1981, page 87)
      « Je crois que nous sommes en train d’oublier notre malade ! »

Références

  • Roparz Hemon, Nouveau dictionnaire breton français, Al Liamm, 6e édition revue et augmentée, 1978, page 464a
  • Martial Ménard, Dictionnaire français-breton, Éditions Palantines, 2012, ISBN 978-2-35678069-0, page 822a, 989b
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