pâlissant

De pâlir.

pâlissant

1. Qui pâlit, qui devient pâle.
   • Sous le ciel pâlissant, les bâtiments de la Borderie sommeillaient encore, à demi sombres, trois longs bâtiments aux trois bords de la vaste cour carrée, la bergerie au fond, les granges à droite, la vacherie, l’écurie et la maison d’habitation à gauche. — (Émile Zola, La Terre, deuxième partie, chapitre I)
   • Mais mademoiselle Sergent vient derrière, pâlissante de jalousie et les sourcils froncés. — (Willy (écrivain) et Sidonie-Gabrielle Colette, Claudine à l’école, Le Livre de Poche, 1900, page 223)

pâlissant \pa.li.sɑ̃\

1. Participe présent du verbe pâlir.

• La prononciation \pa.li.sɑ̃\ rime avec les mots qui finissent en \sɑ̃\.
• \pɑ.li.sɑ̃\
• France (Île-de-France) (avec sigmatisme latéral) : écouter « pâlissant [pɑ.li.ɬ͡sɑ̃] »
• France (Lyon) : écouter « pâlissant [Prononciation ?] »

• palissant (participe présent du verbe palisser)

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• Tout ou partie de cet article a été extrait du Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition, 1932-1935 (pâlissant), mais l’article a pu être modifié depuis.