verdier

Mot dérivé de vert, avec le suffixe -ier.

verdier \vɛʁ.dje\ masculin

1. (Ornithologie) Espèce de petit oiseau passereau, voisin du pinson, à gros bec court, à queue fourchue et dont le plumage est vert.
   • Plusieurs oiseaux de cage : le serin, le chardonneret, le verdier, couvent des œufs d’autres espèces. — (Les Annales politiques et littéraires, volume 42, 1904)
   • Les verdiers et les chardonnerets, les passereaux et les pinsons se comportent au matin comme une basse-cour qu’on a gorgée de grain trempé dans l’eau-de-vie. — (Colette, Printemps passé, dans La maison de Claudine, Hachette, 1922, collection Livre de Poche, 1960, page 151)

• Peut être utilisé avec une majuscule (Verdier) pour mettre en avant le fait qu’on donne un caractère générique au mot.

(simplifié)

• oiseau (Aves)
  • passereau (passériforme)
    • fringillidé (Fringillidae)

(exemples)

• verdier d’Europe (Chloris chloris)
• verdier de Chine (Chloris sinica)
• verdier de l’Himalaya (Chloris spinoides)

verdier \vɛʁ.dje\ masculin

1. (Histoire) Officier qui commandait aux gardes forestiers.

• gruyer

• verderie

• Lyon (France) : écouter « verdier [Prononciation ?] »

→ Modifier la liste d’anagrammes

• verdier sur l’encyclopédie Wikipédia

• Antoine de Rivarol, Dictionnaire classique de la langue française, 1827
• Tout ou partie de cet article a été extrait du Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition, 1932-1935 (verdier), mais l’article a pu être modifié depuis.

De verd (« vert ») avec le suffixe -ier.

verdier \Prononciation ?\ masculin

1. Verdier, garde-forestier.
   • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)

• gruier
• verdeur

• Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IX^e au XV^e siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage