décaféiné

Du participe passé de décaféiner.

XX^e siècle, ajouté à la 9^e édition du Dictionnaire de l’Académie francaise (1986-).

décaféiné \de.ka.fe.i.ne\ masculin

1. dont on a ôté tout ou bonne partie de la caféine.
   • Le café décaféiné ne perturbe pas le sommeil.
   • Et le faux intérêt de sa femme, la petite Janine : « Grand-père, vous avez tort de fumer. Même une seule cigarette, c’est trop. Êtes-vous sûr qu’on ne s’est pas trompé, que c’est bien du café décaféiné ? » Elle joue mal, pauvre petite, elle parle faux. — (François Mauriac, Le Nœud de vipères, Grasset, 1933, réédition Le Livre de Poche, pages 52-53)

• déca (Familier)

décaféiné \de.ka.fe.i.ne\ masculin

1. Café dont on a ôté tout ou bonne partie de la caféine.
   • Si on décaféine un mauvais café, on aura un mauvais décaféiné. — (journal 20 minutes, édition Paris-IDF, 22 mars 2024, page 13)

• déca (Familier)

décaféiné \de.ka.fe.i.ne\

1. Participe passé masculin singulier de décaféiner.

• France (Lyon) : écouter « décaféiné [Prononciation ?] »

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• « décaféiné », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage
• Dictionnaire de l’Académie française, neuvième édition, 1992– → consulter cet ouvrage
• Real Academia Española, Diccionario de la lengua española, 23^e édition → consulter cet ouvrage (descafeinado)