lars

(XIX^e siècle)

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Ce mot pourrait venir du cri poussé par les Gadz'Arts d'Angers le samedi soir «Vive la rince!» avant de se coucher (le dimanche, grasse matinée : lever à 6h30 au lieu de 5h30 !)

 Référence nécessaire

«Vive la rince» s'est transformé en «Vive Larrens» en donnant naissance au mythe du major Larrens.

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lars \laʁs\

1. (Argot des Gadz’Arts) Beaucoup, très
   • Il faut prévoir lars de binouse pour le fin's avec les P3.
   • Le monôme des archis était lars à la cote.

lars \laʁs\

1. (Argot des Gadz’Arts) Marque l’approbation, le soutien aux propos entendus (le /a/ est alors allongé à l’extrême : laaaaaaaaaaaars!)
   • — Les anciens, ils crochent les boules! (fin de la brasse du MT)
     — Laaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaarrrrrs! (reprise en coeur de tous les anciens présents)

• La prononciation \laʁs\ rime avec les mots qui finissent en \aʁs\.
• France (Vosges) : écouter « lars [Prononciation ?] »
• Lyon (France) : écouter « lars [Prononciation ?] »

→ Modifier la liste d’anagrammes

(Date à préciser) Mot étrusque parfois orthographié lar.

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lars \Prononciation ?\ masculin

1. Chef militaire (prénom ou titre honorifique chez les Étrusques).
   • Tertia opima dedit spoliatus aremoricus lars. — (Ausone, Edyllia, De historiis/ Idylles, Technopégnie, Faits historiques, dans Œuvres complètes, trad. Etienne-François Corpet, Paris, éd. Panckoucke, 1843, pages 96-97.)

     Les troisièmes dépouilles opimes vinrent d'un lars de l'Armorique.

2. (Par extension) Chef barbare.
   • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)

• « lars », dans Félix Gaffiot, Dictionnaire latin français, Hachette, 1934 → consulter cet ouvrage

lars [ˈlaɾs] (graphie normalisée) féminin pluriel

1. Pluriel de lar.

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lars

1. Botte.

• bota